Charlène DARDOUILLET
Mme Charlène DARDOUILLET –
Etudiante en Master 1ère année Management des Ressources Humaines
Vous avez fait votre bachelor GARH à Ecoris, pourquoi avoir choisi de continuer en Master ? Acquérir un niveau BAC+5 est vraiment important pour vous ?
Depuis que j’ai obtenu mon BAC CGRH en 2013, je me suis promise d’aller jusqu’au bout de mes études. Actuellement jeune diplômée de la licence GARH, je sens que je ne suis pas encore au maximum de mes capacités. Le master est mon objectif final pour mener à bien mon parcours scolaire. Ce diplôme est pour moi le « grand final ». C’est le niveau maximum d’études dans le domaine des ressources humaines. C’est très important de viser toujours plus haut.
Cela fait trois ans que je suis à ECORIS et j’ai toujours été satisfaite des cours et du programme Bachelor AGE. Je tiens également à souligner que les professeurs sont passionnés par leurs matières, ce qui renforce notre envie d’apprendre.
Vous avez été en alternance chez Adecco. Racontez-nous votre expérience.
Apprendre un métier par le biais de la théorie est très important, mais il ne faut pas oublier que la pratique peut parfois être différente. Lorsque l’on assemble théorie et pratique on arrive plus facilement à assimiler, retenir et surtout appliquer les informations données. J’ai plusieurs fois utilisé mon cours dans mon entreprise d’alternance afin de répondre à des questions que je me posais et ainsi m’adapter au cas présent. L’alternance n’est pas de tout repos, il faut être organisé pour ne pas accumuler du retard dans ses cours, mais honnêtement, c’est la meilleure formule pour apprendre un métier et entrer dans la vie active plus aisément.
ADECCO n’est pas ma première expérience en entreprise, la première que j’ai eue s’est terminée par une démission de ma part. Je ne me sentais pas à l’aise dans l’entreprise. Cependant, je garde du positif de cette expérience. Elle m’a permis de m’endurcir et de réaliser que le monde de l’entreprise ne peut pas être « le monde des bisounours ». Malgré un premier pas compliqué dans la vie active, j’ai eu la chance d’effectuer une année à ADECCO. J’en sors épanouie et confiante. J’ai pu découvrir un métier qui me plaît beaucoup et je me suis sentie complètement intégrée dans l’entreprise.
Vous aimez la littérature, que pouvez-vous nous dire sur cette passion et sur la façon dont vous la faite partager aux internautes ?
La littérature m’apporte beaucoup au quotidien. Elle me permet d’améliorer mon orthographe, la façon de m’exprimer, mais également de m’évader dans des histoires et de prendre la place des personnages le temps de 500 pages. C’est une passion qui ne cesse de grandir. La lecture ne plaît pas à tout le monde et je ne voulais pas embêter mon entourage à parler de livres sans arrêt. C’est pourquoi, un jour, j’ai décidé de créer un site internet où je répertorie mes chroniques (avis) sur les livres que je lis. Toujours poussée par l’envie de partager, mais cette fois-ci d’une autre manière, j’ai décidé en mai 2015 de lancer ma première chaîne “Booktube“ (catégorie de vidéos Youtube livresque). Je jongle entre mon site internet et ma chaîne Youtube pour partager de manière écrite et orale mon ressenti sur les livres. Il faut savoir que je touche des cibles différentes puisque certaines personnes préfèrent lire mes avis sur mon site et d’autres préfèrent voir mes ressentis en vidéo. Ce que je souhaite faire à travers ma passion c’est : donner envie de lire. Beaucoup de personnes pensent qu’elles n’aiment pas lire, mais c’est faux, elles n’ont juste pas trouvé le genre littéraire qui leur convient. A travers mes avis, j’essaye de conseiller les personnes à se lancer dans tel ou tel livre.
En tant qu’étudiante à Ecoris, avez-vous une anecdote à nous raconter (souvenir de classe, des professeurs…) ?
En trois années d’études à ECORIS, il m’est arrivé pas mal de choses. Je garde de très bons souvenirs avec l’ensemble de mes professeurs et camarades. Lors de nos premiers partiels en mars 2016, l’ensemble de la classe avait décidé que celui qui aurait la meilleure note en « Réseaux Sociaux » paierait sa bouteille de Champomy. Vous devez vous dire, pourquoi cette matière ? Parce qu’on n’avait aucune idée des questions sur lesquelles on allait tomber, c’était la grande surprise. Et forcément, sans m’y attendre, j’ai eu la meilleure note donc j’ai apporté du Champomy et des bonbons pour fêter ça. Je trouvais l’idée originale. C’est un bon souvenir !